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Livre Le Bar T'Abat

Présentation

Cette pièce est composée de 22 saynètes nous n'en jouons que 13 à 15. La subtilité des metteurs en scène est d'avoir agencé ces sketches pour donner une unité autour des personnages récurrents que sont Charles et Christiane patrons du bar, du serveur farfelu Fred et de ce bar original : le Sicaire.

Pour rentrer davantage dans l'intimité des personnages voici des références et présentations de quelques saynètes.

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"LE BAR T'ABAT"

Livre disponible auprès de l'auteur,

12 € frais de port inclus

ou 100 € les 10. 

charles.siker@gmail.com

Livre en vente à l'issue du spectacle

L’idée de ces sketches est née d’un brainstorming où chacun des comédiens de la troupe est venu présenter une pièce pour le spectacle suivant. Dans une saynète proposée, il était question d’un bar à tueur à gages mais ce texte n’a pas été retenu. De plus au cours du débat une idée germa, faire jouer nos grands ados avec nous, ce qui ajouta une contrainte à la recherche. Nous n’avons rien trouvé ce soir là. Frustrant. L’inspiration est venue dans la nuit : des ados décident de faire disparaître leur prof de SVT en faisant appel à un tueur à gages. Le premier sketch est né.

"Sources d'inspiration" 

Des sources d’inspiration variées, une conversation entendu dans un restaurant, le politique vu à la tribune ne manquant ni d’humour ni de culture et qui vient nous saluer quelques semaines plus tard dans les loges pour soutenir une petite association locale, le prêtre aumônier d'hôpital, les différentes pièces vues ou jouées, des films…

« La journaliste »

Qui avant même de  rencontrer les personnes sait déjà ce qu’elle va conclure. Qui fait partie de ceux qui savent, « des milieux autorisés ». Il y a en fait 2 sketches où elle est présente. 

​"Le prof de SVT"

Ce sketch a été écrit pour faire jouer les enfants des comédiens, une expérience riche de jouer avec ses parents. Pourquoi avoir choisit les SVT simplement parce que l'auteur enseigne cette discipline et cerise sur le gâteau il a eu ces enfants en classe et même certains comédiens.

« Les amants de Vérone »

Une pure fiction. Personne ne connaît ce genre d’homme qui a les codes du savoir vivre : Rolex, Porsche, bateau. Le hasard de la vie a fait qu’il est riche mais il ne sait pas partager et faire profiter son entourage il est radin, pingre. On démarre sur une histoire dégoulinante d’amour où il cite Roméo et Juliette mais tout cela n’est que vernis. 

« Le candidat à la présidentielle »

L’homme politique le politicien des appareils, pas l’élu local au contact et qui mouille la chemise. On le voit dans sa mesquinerie du compte du temps de parole. Il n’a pas hésité à forcer des résultats à «stimuler la démocratie»comme il dit.  Qui chante le chant du départ qui promet des postes, qui cite Beaumarchais… pour lui tout est bon à prendre tant que ça le sert. 

"Le business developper"

Traite du décalage entre les générations. D'une part 2 vieux buteux qui parlent un argot suranné et d'une autre une jeune business developper qui parle le franglais  des start-up.

Un échange qui disrupte, trouveront-ils un terrain d'entente ?

Dans cette saynète un clin d'œil à Michel Audiard, 10 titres de films dont il a écrit les dialogues se retrouvent dans la bouche des 2 vieux tontons flingueurs.

« Les braqueurs 2.0 »

On joue sur les expressions mal comprises et mal dites qui deviennent loufoques. Des expressions relevées ça et là dans des conversations entendues par hasard. Par exemple « en bon uniforme » pour « en bonne et due forme » ou encore des citations qui sont attribuées à Einstein, Pasteur ou Confucius sans se soucier des anachronismes, parce qu'on ne prête qu'aux riches…

« Zette et le curé »

La plupart de ces sketches ont été écrit à l’hôpital, l’inspiration ici vient d’un prêtre aumônier d’hôpital. Un brave homme qui m’a semblé être victime de l’église, de sa hiérarchie qui feint de croire que le monde n’a pas changé et que les hommes ont besoin de l’Église telle qu’elle était avant Vatican II. 

« La coiffeuse »

Mille excuses aux coiffeuses, des clichés, des poncifs mais surtout ce sketch parle de l'orientation avec au passage un petit coup de griffe à Parcoursup. 

« Le stage de découverte professionnelle »

2 lycéens doivent trouver un stage de découverte professionnelle. L’un d’eux est très intéressé par le train de vie de son voisin qui en plus semble peu travailler… Ici des références à OSS 117 Hubert Bonisseur de la Bath, au film « Le Caire nid d’espion » ou selon la version du sketch James Bond, son Aston Martin et le film « Mourrir peut attendre ». Fred le Garçon qui est discret cite Groucho Marx : « La discrétion est ma devise. Je ne dis jamais rien. Même sur ma carte de visite, il n'y a rien d’écrit ».

« Laisse les gondoles à Venise »

Inspiré d’un sketch de Fernand Reynaud et Paul Préboist où chacun croit que l’autre est vendeur de télé. Ici chacun croit que le tueur à gages est l’autre et réciproquement pour le commanditaire. . 

« La dramaturge »

Une dramaturge s’est glissée dans un coin obscur du Sicaire et a pris des notes pour sa prochaine pièce. On retrouve ici des références à la pièce « Le coupable est dans la salle » de Yvon Taburet que Théâtroter’Happy joue en parallèle avec « Le Bar T’Abat ».

« Le viager »

Le titre évoque celui du film de Pierre Tchernia le seul point commun. Notre vendeuse en viager, finaude, surprend tout le monde par son stratagème.

« Fred sauve le bar »

Une capitaine de police tente de s’infiltrer dans le Sicaire, elle est repérée par Fred. Charles fait appel Mme Fraya qui a existé : Valentine Dencausse connue sous le pseudonyme de Madame Fraya, est une voyante chiromancienne renommée, Madame Fraya a lu dans les mains de toutes les célébrités et politiques de la Belle Époque… 

« Le comique »

Un humoriste en mal d’inspiration conseillé par un ami, cherche sur le net un « bar à gags  qui tuent» mais son moteur de recherches l’a envoyé dans un « bar à tueurs à gages ». Le mot de passe ici est une citation de Raymond Devos :"Un jardinier qui tond une pelouse est un tueur en herbes"… 

« La décoratrice »

Un monologue pour servir intermède et permettre aux comédiens de se changer. Le nom de la décoratrice Mme Jovine est celui de l’héroïne de Eduardo de Filippo dans « Napoli Millionario »..

« L'inconnu du Nord-Express »

C’était trop tentant de faire un échange de service à la manière du film éponyme d’Alfred Hitchcock que les 2 bécasses prénomment Albert.

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